Dans ce cinéma de la Manche, le numérique a remisé la bobine mais pas le projectionniste

Dans le film Cinema Paradiso sorti en 1988, le personnage du projectionniste des années 40 campé par Philippe Noiret surmontait avec passion et l’art du bricolage les tracas d’une cabine de projection où coupures et embrasement de bobines étaient récurrents. Rien de tel aujourd’hui au Rialto, cinéma associatif de La Haye, où Vincent Le Goff découvre depuis deux mois les bouleversements survenus dans le métier avec l’arrivée du numérique.

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